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Surface granuleuse
dimanche 11 mai
4ème Dimanche de Pâques 
année C
Croyons-nous en la vie éternelle ?

 

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Ce dimanche, les Actes des Apôtres et l’évangile de saint Jean nous parlent de la vie éternelle pour tous les hommes.
Dans l’évangile de saint Jean, Jésus reprend l’image du bon pasteur, du berger et des brebis, image qui est bien connue dans l’Ancien Testament pour représenter le Seigneur.
Jésus déclare : ‘Mes brebis écoutent ma voix ; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, et personne ne les arrachera de ma main,… personne ne les arrachera de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes UN.’
C’est un des textes des évangiles dans lequel Jésus affirme sa divinité, comme l’a retenu le concile de Nicée dont nous fêtons le 1700ème anniversaire.
 
Et nous, croyons-nous vraiment à la vie éternelle ?
 
Nos raisonnements humains, notre raison, nos connaissances scientifiques ne nous aident pas à y croire. Les textes des écritures saintes ne nous donnent pas beaucoup d’éléments pour imaginer comment peut se dérouler la vie après la mort.
 
Pour mieux comprendre, il nous faut revenir au Christ : c’est Lui qui a vaincu la mort, c’est Lui le premier homme mort et ressuscité.
Nous découvrons dans les textes des évangiles qui relatent la vie du Christ ressuscité après sa mort sur la croix, pendant les quarante jours de Pâques à l’Ascension, que ceux qui l’ont connu, Marie Magdeleine, les Apôtres, les disciples, ont bien du mal à le reconnaître. Il faut que le Christ ressuscité se fasse reconnaître par des signes et des paroles.
 
Aujourd’hui, nous sommes dans la même situation que les Apôtres et les disciples après Pâques : c’est par des signes et des paroles que nous pouvons reconnaître le Christ.
 Nous pouvons reconnaître le visage du Christ dans ceux qui nous entourent : ils ont été créés à l’image de Dieu.
Nous pouvons Le reconnaître par ses paroles dans les écritures saintes, le Verbe s’est fait chair.
 
La seule chose que le Seigneur nous demande, c’est de croire en Lui et nous verrons les signes qu’Il nous envoie.
 
Il faut revenir à l’image qui est dans l’évangile de ce dimanche, celle du bon pasteur, le berger que nous avons un peu oublié dans notre monde moderne.
Il nous faut un guide qui nous connaisse. Il nous faut un père qui nous aime pour ressentir la fraternité entre les hommes.
Nous avons besoin du Père, du Fils et de l’Esprit Saint pour nous guider dans notre vie vers la vie éternelle.
                                                                                 
Bruno de Vallée
diacre
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